Le FESSE se pare de dentelle fine

 On a donné le coup d'envoi de la nouvelle saison du FESSE, après les vacances naturistes de Don Perversio sur une obscure plage asiatique.

Après quelques parties de To The Strongest qui ont terminé en beauté la saison dernière, nous avons opté pour une partie en dentelles, c'est à dire la période dite dentelle, et non jouer en dentelle, quoique certains lecteurs avisés de ce blog ne renient pas ce type de plaisir que nous qualifierons de limite aux lois de la nature, à savoir jouer aux figurines en ne portant qu'un string en dentelle

Chacun trouve ses plaisirs comme il le peut, et comme le dirait le célèbre Satrape "Gonzados le Grand", avec qui nous ferons connaissance lorsque mon armée achéménide tardive sera terminée, : il ne faut négliger aucun des petits plaisirs, même les plus infimes, que la vie peut nous apporter".

Sur ce, ouverture de la saison avec une partie pas fine entre russes et prussiens, entre dévoreurs d'enfants le couteau entre les dents (ha non, ca c'est pour la partie bolchevik, j'anticipe). Donc entre dévoreurs d'enfants, mais sans le couteau entre les dents, j'ai moins peur d'un coup, et violeurs de provinces autrichiennes.

La partie s'est jouée sur la règle Twillight of the Soldier King, de Nick Dorell

En gros, le russe a voulu manœuvrer, mais on manœuvre très mal dans cette règle (pas de crabe par exemple). Ce qui fait que j'ai empilé trop de troupes dans trop peu d'espace et que un embouteillage a eu lieu. Sans oublier une insolente brigade de fusiliers, qui malgré des tirs à mitraille de flanc, s'est désespérément agrippée à la vie. Sans oublier deux ou trois erreurs et zou, une belle partie, toujours très fine

Les photos après la version anglaise

English version

 We kicked off the new FESSE season after Don Perversio's naturist holiday on an obscure Asian beach.

After a few games of To The Strongest, which ended last season on a high note, we opted for a lacy game, i.e. the period known as lace, and not playing in lace, although some discerning readers of this blog do not deny this type of pleasure, which we would describe as a limit to the laws of nature, i.e. playing miniatures wearing nothing but a lacy thong.

Everyone finds their pleasures as they can, and as the famous Satrape ‘Gonzados the Great’, with whom we'll be getting to know when my late Achaemenid army is finished, would say: ‘We mustn't neglect any of the small pleasures, even the tiniest ones, that life can bring us’.

On that note, the season opens with a not-very-fine game between Russians and Prussians, between child-eaters with knives between their teeth (no, that's for the Bolshevik part, I'm anticipating). So between child-eaters, but without the knife between their teeth, I'm less scared all of a sudden, and rapists of Austrian provinces.

The game was played on the Twillight of the Soldier King rule, by Nick Dorell

Basically, the Russian wanted to manoeuvre, but manoeuvring is very bad in this rule (no crab, for example). As a result, I piled up too many troops in too little space and a traffic jam ensued. Not to mention a cheeky brigade of riflemen, who despite being shot at from the flank, clung desperately to life. Not forgetting a couple of mistakes and zou, a fine game, always very fine.

Photos below